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Déplacement à Grenoble
+2
léopold
enzo
6 participants
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Page 1 sur 1
Déplacement à Grenoble
Je profite de cette fin d’année pour vous faire partager une aventure vécue en moto, il y a 34 ans.
Pourquoi?
Tout simplement en raison de l’engouement de nombreuses personnes croisées au stade m’ayant félicité pour mes récits motocyclistes.
Le dernier l’ayant fait, connu du forum et c’est pour cette raison que je le cite, est Damier.
Il m’a confié regretter de ne jamais avoir eu l’idée de faire de la moto et partir se promener comme j’ai l’habitude de le faire.
Lorsque l’on se prête à l’écriture, il est difficile d’en mesurer l’impact.
A priori, l’incitation au voyage, au rêve et au sentiment de liberté à laquelle j’aspire ont transpiré sur certains.
Je ne peux, en remerciement, que vous offrir ce récit.
Nous sommes le 28 décembre mais je vais vous raconter comment j’ai vécu celui de 1978 dédié aux Innocents.
Innocent ! Voilà un terme, dans notre langage de Gironde, souvent exprimé au nez de celui qui fait ou narre un acte irraisonné sans qu’en soit affecté le capital sympathie attribué car en général la connerie finie bien.
Il était l’heure où blanchit la campagne comme dit le poète, lorsque je sors la moto du garage d’un de mes oncles à Amiens (80).
Cet oncle aime la moto et n’est pas du genre à conseiller un billet de train pour rentrer sur Périgueux a son neveu âgé de 18 ans.
D’ailleurs, lui-même, a connu les rigueurs de l’hiver sur 2 roues à cet âge là.
N’est-ce-pas lui, voulant soulager une envie pressante au guidon de la 125 Magnat Debon de son Père soit mon Grand Père, qui s’est coincé dans la fermeture éclair l’instrument propre à l’homme ?
Une trentaine de kilomètre qui parure une éternité, « toute voile dehors », au bord de l’asphyxie et par -5°, fut couvert afin de rejoindre un hôpital dont la préposé à l’opération du service 3 pièces était une jeune bonne sœur à bigote comme, en ce temps là, on en trouvait dans les lieux de soins.
L’oncle fut sauvé ainsi que ses organes génitaux grâce aux doigts chauds et experts d’une fille du seigneur. ALLELUIA !!
Bref, en ce matin du 28/12/78, la météo n’est pas avec moi : Pluie, froid, brouillard, verglas.
La Picardie possède son charme : Encore faut-il savoir l’apprécier.
La route est une vraie patinoire. Les engins agricoles, qui sortent des champs de betteraves sucrières, laissent sur la route de grandes étendues de boue et échappent aussi de la récolte.
Les betteraves de là-bas n’ont rien à voir avec les betteraves rouges connues de tous.
En lieu et place d’organes gros comme une boule de pétanque que mes pneus écrabouilleraient sans ménagement ni conséquence, je me dois d’éviter des mastodontes de 5 à 7 kilos durs comme des cailloux dont certaines ont été réduites en purée par quelques poids lourds augmentant ainsi le coefficient de glisse.
Chemin faisant par un petit -3°, j’arrive à Sarcelles.
Je reconnais de suite les barres d’immeuble de mes manuels scolaires de l’époque.
En effet, l’illustration de l’exode rurale et de l’urbanisation galopante était toujours une photo de Sarcelles.
Je me suis arrêté faire le plein avant Paris - par précaution- mais aussi, me rendre compte de la réalité de la place tout en pensant à J. Dutronc qui a chanté les jardins qui sentent le bassin Parisien –ce qui devait être à un certain moment une réalité sympa à vivre-.
Fait du hasard, des années plus tard, j’ai rencontré SAM -qui nous lit- dont les parents avaient été les premiers locataires du premier immeuble construit dans ce coin. J’ai eu l’occasion de lui narrer cet épisode comme lui m’a raconté avoir assisté à la totalité de la construction de la ville nouvelle mais aussi de ses jeux de gamin dans les alentours de ce qui était une campagne avec des cerisiers et autres jardins puis, dès 16 ans, avoir suivi son père, un matin, pour embaucher dans une usine de sous-traitance automobile des environs.
En ce temps là, il suffisait de se pointer le matin à une guérite d’embauche près de l’entrée de l’usine, de faire la queue au milieu des travailleurs de toute race et couleur, d’attendre le nombre gueulé des embauches et le coup était joué.
La traversée de Paris consiste à un passage par le périphérique et, de mon entrée par le nord à ma sortie par le sud, cela ne sera que pluie, embouteillage et pollution.
La visière de mon casque était tellement sale et embuée que j’ai fini visière relevée offrant mon visage et mes lunettes à la saleté, au froid et la buée.
Ce n’est que vers Montlhéry que je décide de m’arrêter sur le bas-côté de la route pour nettoyer tout cela.
Je descends de la moto, pose mes lunettes sur ma selle, retire mon casque et va soulager ma vessie dans un terrain vague en évitant le piège du Tonton narré plus haut.
Au retour, plus de lunette sur la selle de la moto.
Je réalise ma bêtise compte-tenu de la pluie et du vent.
Le passage d’un camion qui me balance une gerbe d’eau m’illumine l’esprit ou plutôt me le rafraichit un peu plus. Et si, comme je viens de le vivre, sans doute que mes lunettes avaient été emportées par une vague d’eau sale et de boue malodorante?
J’arpente le terrain vague tel une taupe perdue et finis par retrouver la paire de binocle à une quinzaine de mètre de la chaussée mais sur un chien crevé en état de décomposition.
N’ayant d’autre choix que de rajuster l’ustensile de vue sur mon nez, je pars à la recherche d’une flaque d’eau afin de faire un peu de vaisselle.
L’heure tournait et entre une moyenne catastrophique due aux conditions météo, l’arrêt à Sarcelles, la traversée de Paris et l’épisode des lunettes, il était grand temps de trouver un endroit pour déjeuner.
Enfin, 70 kms plus loin, un restaurant type routier de très grosse capacité.
Je gare ma moto au milieu de nombreux camions, sans doute plus de 100, puis entre dans la salle de restaurant vers 13h45.
A peine passé le pas de la porte, crotté de partout, j’entends, venant de derrière le zinc : HALTE !!!.
Pensant que, vu l’heure ou vu mon état, j’en étais quitte à repartir le ventre vide, je rebrousse chemin quand le moustachu et patron des lieux me tend une chaise, m’ordonne de m’assoir sans me dévêtir, de poser un billet de 5 FRS sur la table et de manger ce qu’une serveuse me donne.
La scène se déroule dans une salle comble de routiers qui commencent à reprendre la route non sans m’avoir encouragé, mis une tape dans le dos et me demandant d’où je venais et où j’allais.
Pendant ce temps là, une employée des lieux, s’active avec un balai et une serpillière autour de moi : j’étais dégoulinant, mouillé jusqu’aux os.
Je repris la route malgré tout un peu réchauffé –surtout le cœur- en fredonnant la chanson pour L’Auvergnat de Brassens……
Il pleuvait toujours, de l’eau de là haut comme le dit une chanteuse mais de l’eau bien gelée et j’ai croisé une moto. Faite le compte, ce jour là, nous étions 2 innocents ce qui explique, sans aucun doute, le S sur le calendrier.
L’avantage de La Beauce, se sont les grandes lignes droites. Cela permet de se concentrer uniquement sur la vitesse.
Pendant près de 200 kms, j’ai doublé des camions dont les chauffeurs m’avaient vu dans le resto.
A chaque fois, j’étais salué par un concert de klaxon.
Les villes défilent tant bien que mal : Orléans, Limoges et enfin Périgueux.
Ma mère ouvrira sa porte au STROUMPH motocycliste qui venait de passer 12h00 sur la route. J’étais BLEU voire un bleu qui tire sur le violet.
Déshabillé dans le garage, elle me plongea dans la baignoire pleine d’eau à peine tiède et tout en laissant la bonde ouverte laissa au fur et à mesure l’eau chaude remplacée l’eau évacuée.
Lorsque je suis revenu à la vie, j’ai entendu Jingle bells qui passait à la télé.
Je tenais à vous raconter cette aventure en ce jour du 28/12 et vous indiquez que même si aujourd’hui je possède un équipement de qualité, je ne me rendrai pas à Grenoble et pourtant l’envie m’en démange.
L’excuse de travailler le 31 tombe, en fait, à pic.
c'est donc depuis un pub Irlandais, avec mes amis du forum, que je suivrai les exploits des nôtres.
Pourquoi?
Tout simplement en raison de l’engouement de nombreuses personnes croisées au stade m’ayant félicité pour mes récits motocyclistes.
Le dernier l’ayant fait, connu du forum et c’est pour cette raison que je le cite, est Damier.
Il m’a confié regretter de ne jamais avoir eu l’idée de faire de la moto et partir se promener comme j’ai l’habitude de le faire.
Lorsque l’on se prête à l’écriture, il est difficile d’en mesurer l’impact.
A priori, l’incitation au voyage, au rêve et au sentiment de liberté à laquelle j’aspire ont transpiré sur certains.
Je ne peux, en remerciement, que vous offrir ce récit.
Nous sommes le 28 décembre mais je vais vous raconter comment j’ai vécu celui de 1978 dédié aux Innocents.
Innocent ! Voilà un terme, dans notre langage de Gironde, souvent exprimé au nez de celui qui fait ou narre un acte irraisonné sans qu’en soit affecté le capital sympathie attribué car en général la connerie finie bien.
Il était l’heure où blanchit la campagne comme dit le poète, lorsque je sors la moto du garage d’un de mes oncles à Amiens (80).
Cet oncle aime la moto et n’est pas du genre à conseiller un billet de train pour rentrer sur Périgueux a son neveu âgé de 18 ans.
D’ailleurs, lui-même, a connu les rigueurs de l’hiver sur 2 roues à cet âge là.
N’est-ce-pas lui, voulant soulager une envie pressante au guidon de la 125 Magnat Debon de son Père soit mon Grand Père, qui s’est coincé dans la fermeture éclair l’instrument propre à l’homme ?
Une trentaine de kilomètre qui parure une éternité, « toute voile dehors », au bord de l’asphyxie et par -5°, fut couvert afin de rejoindre un hôpital dont la préposé à l’opération du service 3 pièces était une jeune bonne sœur à bigote comme, en ce temps là, on en trouvait dans les lieux de soins.
L’oncle fut sauvé ainsi que ses organes génitaux grâce aux doigts chauds et experts d’une fille du seigneur. ALLELUIA !!
Bref, en ce matin du 28/12/78, la météo n’est pas avec moi : Pluie, froid, brouillard, verglas.
La Picardie possède son charme : Encore faut-il savoir l’apprécier.
La route est une vraie patinoire. Les engins agricoles, qui sortent des champs de betteraves sucrières, laissent sur la route de grandes étendues de boue et échappent aussi de la récolte.
Les betteraves de là-bas n’ont rien à voir avec les betteraves rouges connues de tous.
En lieu et place d’organes gros comme une boule de pétanque que mes pneus écrabouilleraient sans ménagement ni conséquence, je me dois d’éviter des mastodontes de 5 à 7 kilos durs comme des cailloux dont certaines ont été réduites en purée par quelques poids lourds augmentant ainsi le coefficient de glisse.
Chemin faisant par un petit -3°, j’arrive à Sarcelles.
Je reconnais de suite les barres d’immeuble de mes manuels scolaires de l’époque.
En effet, l’illustration de l’exode rurale et de l’urbanisation galopante était toujours une photo de Sarcelles.
Je me suis arrêté faire le plein avant Paris - par précaution- mais aussi, me rendre compte de la réalité de la place tout en pensant à J. Dutronc qui a chanté les jardins qui sentent le bassin Parisien –ce qui devait être à un certain moment une réalité sympa à vivre-.
Fait du hasard, des années plus tard, j’ai rencontré SAM -qui nous lit- dont les parents avaient été les premiers locataires du premier immeuble construit dans ce coin. J’ai eu l’occasion de lui narrer cet épisode comme lui m’a raconté avoir assisté à la totalité de la construction de la ville nouvelle mais aussi de ses jeux de gamin dans les alentours de ce qui était une campagne avec des cerisiers et autres jardins puis, dès 16 ans, avoir suivi son père, un matin, pour embaucher dans une usine de sous-traitance automobile des environs.
En ce temps là, il suffisait de se pointer le matin à une guérite d’embauche près de l’entrée de l’usine, de faire la queue au milieu des travailleurs de toute race et couleur, d’attendre le nombre gueulé des embauches et le coup était joué.
La traversée de Paris consiste à un passage par le périphérique et, de mon entrée par le nord à ma sortie par le sud, cela ne sera que pluie, embouteillage et pollution.
La visière de mon casque était tellement sale et embuée que j’ai fini visière relevée offrant mon visage et mes lunettes à la saleté, au froid et la buée.
Ce n’est que vers Montlhéry que je décide de m’arrêter sur le bas-côté de la route pour nettoyer tout cela.
Je descends de la moto, pose mes lunettes sur ma selle, retire mon casque et va soulager ma vessie dans un terrain vague en évitant le piège du Tonton narré plus haut.
Au retour, plus de lunette sur la selle de la moto.
Je réalise ma bêtise compte-tenu de la pluie et du vent.
Le passage d’un camion qui me balance une gerbe d’eau m’illumine l’esprit ou plutôt me le rafraichit un peu plus. Et si, comme je viens de le vivre, sans doute que mes lunettes avaient été emportées par une vague d’eau sale et de boue malodorante?
J’arpente le terrain vague tel une taupe perdue et finis par retrouver la paire de binocle à une quinzaine de mètre de la chaussée mais sur un chien crevé en état de décomposition.
N’ayant d’autre choix que de rajuster l’ustensile de vue sur mon nez, je pars à la recherche d’une flaque d’eau afin de faire un peu de vaisselle.
L’heure tournait et entre une moyenne catastrophique due aux conditions météo, l’arrêt à Sarcelles, la traversée de Paris et l’épisode des lunettes, il était grand temps de trouver un endroit pour déjeuner.
Enfin, 70 kms plus loin, un restaurant type routier de très grosse capacité.
Je gare ma moto au milieu de nombreux camions, sans doute plus de 100, puis entre dans la salle de restaurant vers 13h45.
A peine passé le pas de la porte, crotté de partout, j’entends, venant de derrière le zinc : HALTE !!!.
Pensant que, vu l’heure ou vu mon état, j’en étais quitte à repartir le ventre vide, je rebrousse chemin quand le moustachu et patron des lieux me tend une chaise, m’ordonne de m’assoir sans me dévêtir, de poser un billet de 5 FRS sur la table et de manger ce qu’une serveuse me donne.
La scène se déroule dans une salle comble de routiers qui commencent à reprendre la route non sans m’avoir encouragé, mis une tape dans le dos et me demandant d’où je venais et où j’allais.
Pendant ce temps là, une employée des lieux, s’active avec un balai et une serpillière autour de moi : j’étais dégoulinant, mouillé jusqu’aux os.
Je repris la route malgré tout un peu réchauffé –surtout le cœur- en fredonnant la chanson pour L’Auvergnat de Brassens……
Il pleuvait toujours, de l’eau de là haut comme le dit une chanteuse mais de l’eau bien gelée et j’ai croisé une moto. Faite le compte, ce jour là, nous étions 2 innocents ce qui explique, sans aucun doute, le S sur le calendrier.
L’avantage de La Beauce, se sont les grandes lignes droites. Cela permet de se concentrer uniquement sur la vitesse.
Pendant près de 200 kms, j’ai doublé des camions dont les chauffeurs m’avaient vu dans le resto.
A chaque fois, j’étais salué par un concert de klaxon.
Les villes défilent tant bien que mal : Orléans, Limoges et enfin Périgueux.
Ma mère ouvrira sa porte au STROUMPH motocycliste qui venait de passer 12h00 sur la route. J’étais BLEU voire un bleu qui tire sur le violet.
Déshabillé dans le garage, elle me plongea dans la baignoire pleine d’eau à peine tiède et tout en laissant la bonde ouverte laissa au fur et à mesure l’eau chaude remplacée l’eau évacuée.
Lorsque je suis revenu à la vie, j’ai entendu Jingle bells qui passait à la télé.
Je tenais à vous raconter cette aventure en ce jour du 28/12 et vous indiquez que même si aujourd’hui je possède un équipement de qualité, je ne me rendrai pas à Grenoble et pourtant l’envie m’en démange.
L’excuse de travailler le 31 tombe, en fait, à pic.
c'est donc depuis un pub Irlandais, avec mes amis du forum, que je suivrai les exploits des nôtres.
enzo- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 1435
Localisation : PESSAC
Date d'inscription : 26/06/2010
Re: Déplacement à Grenoble
De la bien belle ouvrage, Enzo serait il avec Sergio nos hommes de plumes.
Beau talent où ne manque rien.
Gaffe Enzo aux fermetures éclairs, on ne trouve plus à tout les coins de rue une nonne aussi consciencieuse q'attentionnée et je doute que dans le pub Irlandais tu puisse pour cela trouver les talents nécessaires.
Donc boutons de rigueur l'ami.
Beau talent où ne manque rien.
Gaffe Enzo aux fermetures éclairs, on ne trouve plus à tout les coins de rue une nonne aussi consciencieuse q'attentionnée et je doute que dans le pub Irlandais tu puisse pour cela trouver les talents nécessaires.
Donc boutons de rigueur l'ami.
léopold- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 9719
Localisation : A Musard derrière les espoirs
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Déplacement à Grenoble
_________________
Tombé tout jaune dans le rugby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
Allez UBB
Re: Déplacement à Grenoble
Bravo Enzo... tes talents de conteur on dirait du Zocato sont aussi grands que tes talents motocyclistes ou mécaniques.
Je suis preneur et surement tous les lecteurs de notre forum d'une anecdote de cet acabit, chaque semaines ou l'UBB sera en déplacement... qu'en penses-tu ?
Dans tous les cas, rendez-vous dimanche au Conemara devant une pinte... ou 2
ALLEZ L'
Je suis preneur et surement tous les lecteurs de notre forum d'une anecdote de cet acabit, chaque semaines ou l'UBB sera en déplacement... qu'en penses-tu ?
Dans tous les cas, rendez-vous dimanche au Conemara devant une pinte... ou 2
ALLEZ L'
Damier-Muzard- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 721
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 09/03/2009
Humeur : Isole-toi... mais pas tout seul !!!
Age : 76
Camiste- J'aime l'Union à la folie
- Nombre de messages : 1300
Localisation : loin du monde
Date d'inscription : 22/02/2008
Age : 61
Re: Déplacement à Grenoble
Salut Enzo le motard-conteur...!
A 18 ans se cogner un tel périple et dans ces conditions.....[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
soit on lâche le guidon, soit on on signe pour toujours....!
Bravo Enzo...!
Tu pourrais largement faire partie de l'équipe des jobards.... euh pardon du Joe-Bar team
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
PS : je comprends mieux à la lecture de tes balades, pourquoi lorsque je te demande si t'es venu au match en bécane, tu me réponds.... wouah.. non... c'est pas intéressant !!!
C'est sûr !
Plus d'envie que de peur !!!
A 18 ans se cogner un tel périple et dans ces conditions.....[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
soit on lâche le guidon, soit on on signe pour toujours....!
Bravo Enzo...!
Tu pourrais largement faire partie de l'équipe des jobards.... euh pardon du Joe-Bar team
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
PS : je comprends mieux à la lecture de tes balades, pourquoi lorsque je te demande si t'es venu au match en bécane, tu me réponds.... wouah.. non... c'est pas intéressant !!!
C'est sûr !
Plus d'envie que de peur !!!
Pat- Unioniste de la première heure
- Nombre de messages : 10405
Localisation : VO
Date d'inscription : 16/11/2008
Humeur : ça dépendait d'un Gascon ... à béret béarnais !
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