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Message  coach2rugby Mar 19 Mar 2024 - 15:40

https://www.rugbyrama.fr/2024/03/19/arbitrage-arret-de-volee-sur-coup-denvoi-carton-rouge-de-20-minutes-world-rugby-prepare-sa-revolution-11835518.php

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Message  léopold Mar 19 Mar 2024 - 15:52

Evolution, Révolution ou régression.....
Voila qui va encore un peu plus compliquer les choses pour les joueurs, les arbitres, les spectateurs puisque aujourd'hui on parle de plus en plus d'un spectacle que d'un sport.
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Message  Scalp Mar 19 Mar 2024 - 22:05


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Message  Scalp Jeu 21 Mar 2024 - 19:44

ARBITRAGE. Carton rouge de 20 minutes ? Nigel Owens alerte sur les dérives d’une telle pratique

https://www.lerugbynistere.fr/news/arbitrage-carton-rouge-de-20-minutes-nigel-owens-alerte-sur-les-derives-dune-telle-pratique-2103241851.php

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Message  Scalp Dim 24 Mar 2024 - 10:11

Vidéo. Encore de nouvelles règles ? On en parle dans KICK-OFF RUGBY : "Ce serait dénaturer le rugby pour attirer un nouveau public"

https://www.rugbyrama.fr/2024/03/24/video-encore-de-nouvelles-regles-on-en-parle-dans-kick-off-rugby-ce-serait-denaturer-le-rugby-pour-attirer-un-nouveau-public-11845035.php

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Message  Scalp Dim 24 Mar 2024 - 14:11

https://www.rugbyrama.fr/2024/03/24/arbitrage-fin-de-la-loi-dupont-protection-des-joueurs-decryptage-des-nouvelles-regles-de-rugby-pour-2024-11846268.php

Arbitrage - Fin de la "loi Dupont", protection des joueurs : décryptage des nouvelles règles de rugby pour 2024

Nicolas Zanardi

À la suite d’une Coupe du monde marquée par de nombreuses polémiques liées à l’arbitrage, World Rugby n’avait d’autre choix que de réagir. C’est ainsi qu’après le forum mondial qui s’est tenu au mois de mars, l’instance mondiale a publié divers ajustements qui s’effectueront à plus ou moins court terme, visant à rendre le jeu plus simple, plus fluide et plus sûr. Décryptage.

C’est peu dire que la Coupe du monde 2023 et le dernier Tournoi des 6 Nations auront donné beaucoup de grain à moudre à World Rugby, et de nombreuses raisons d’exaucer le souhait d’un jeu "plus simple à arbitrer" formulé par Joël Jutge dans ces mêmes colonnes, au début de l’année. À ce titre, le patron mondial des arbitres attendait énormément du forum "Shape of the Game" qui se tenait au début du mois, espérant que toutes les nations du monde s’avéreraient parties prenantes du processus de réflexion pour améliorer la qualité du jeu en le rendant plus simple, plus fluide et plus sûr. Une triple volonté qui a conduit des échanges d’un très bon niveau, et permis à World rugby d’annoncer un plan en cinq temps, avec des modifications effectives dès le 19 mars, d’autres qui le seront cet été après validation du Conseil le 9 mai, tandis que certaines seront soumises à des tests locaux et d’autres (pour l’instant) cantonnées à des groupes de travail, voire seulement sujettes à des analyses au travers divers "laboratoires de jeu".

De quoi satisfaire le président Bill Beaumont, pour qui toutes ces évolutions étaient nécessaires. "Le rugby a toujours été synonyme de changement. Depuis 200 ans, notre sport est né d’un désir d’évolution, et c’est avec cet esprit que nous cherchons à inspirer la prochaine génération de supporters et de joueurs. Cela implique d’être audacieux, d’embrasser le changement en améliorant l’aspect divertissant, en rendant nos joueurs plus accessibles, en le simplifiant pour l’expliquer à ceux qui ne sont pas encore séduits par ce sport. Nous avons réagi rapidement, nécessitant une unité et un engagement remarquables de la part de tous les acteurs pour présenter un ensemble de propositions d’amélioration au Conseil en mai. J’attends désormais avec enthousiasme les discussions à venir." Tout au plus regrettera-t-on, à titre purement personnel, que des mesures révolutionnaires et nous semble-t-il inéluctables comme l’abaissement de la hauteur de plaquage, la simplification des zones de ruck ou la diminution du nombre de remplacements ne sont, pour l’heure, qu’aux mains de groupe de travail. Ce qui prendra un certain temps, mais ne saurait malgré tout durer éternellement…

Ce qui a changé au 19 mars : accélération des "petits trains" sur commande de l'arbitre


C’est immédiatement à la suite du forum "Shape of the Game" et surtout du dernier Tournoi des 6 nations que World Rugby a imposé trois modifications de règles. Des changements qui n’en sont pas vraiment, d’ailleurs, puisqu’ils impliquent simplement d’appliquer avec plus de sévérité les règles déjà existantes… Ainsi :

- Lorsque le ballon sera clairement gagné dans un ruck, les arbitres auront pour consigne d’annoncer "use it" ("jouez-le", dans la langue de Molière) le plus rapidement possible en vertu de la règle 15.17, obligeant le relayeur à extraire le ballon dans les 5 secondes. L’objectif: mettre fin aux interminables "petits trains" sur les séquences de sorties de camp.

- Sur mêlée, l’ajustement de la règle 19.10 sera maintenu, qui obligera les talonneurs à maintenir un pied-frein complet pour aider à la stabilité et la sécurité de la mêlée pendant la séquence d’engagement. Le but étant évidemment d’éviter autant que possible les écroulements à l’impact.

- Concernant l’entrée des porteurs d’eau, renforcement strict de la règle 6.29 expérimentée depuis 2022 à la suite des agissements de Rassie Erasmus, qui codifie clairement les moments où ces derniers peuvent entrer en jeu (uniquement pendant un arrêt de jeu signalé par l’arbitre, avec obligation de quitter le terrain lorsque le médecin en sort aussi ou après un essai marqué), mais également les interactions de ces derniers avec les joueurs et l’arbitre, qui doivent être réduites à néant. L’échange entre Neil Jenkins et Mathieu Raynal lors du dernier pas de Galles-Italie ayant fait suffisamment parler, voilà deux semaines…

Ce qui va changer cet été : fin de la "loi Dupont"
et interdiction du "crocodile"


C’est le 9 mai prochain que le Conseil de World Rugby examinera un ensemble de modifications de règles dans une réunion qui s’annonce décisive, toujours dans le souci d’améliorer la sécurité des joueurs et la fluidité du jeu. Le suspense demeure tout relatif puisque World Rugby semble avoir pour objectif de mettre ces règles en application dès cet été. Autrement dit, en ce qui concerne les joueurs tricolores, à partir de la prochaine tournée du XV de France en Argentine.

- La première modification ? Elle consistera, pour réduire les épisodes de ping-pong rugby, à sonner la fin de la "loi Dupont" par un ajustement de la règle 10, en fonction de l’expérimentation en cours dans le Super Rugby Pacific où l’article 10.7 (qui permettait aux partenaires d’un botteur placés devant lui d’être remis en jeu par l’action d’un adversaire, lorsque le réceptionneur passait son ballon ou parcourait cinq mètres ballon en main) a été supprimé. À partir de cet été, seul l’article 10.4 sera appliqué, qui veut que "les défenseurs resteront hors-jeu jusqu’à ce qu’ils soient remis en jeu par un coéquipier parti derrière le botteur, ou par le botteur lui-même".

- Suppression de l’option mêlée sur coup franc, afin de réduire au maximum les temps morts inhérents à la mise en place d’une mêlée fermée et à accélérer le jeu. Également d’éviter, comme lors du quart de finale livré par l’Afrique du Sud contre la France, de perdre du temps à organiser une mêlée après un arrêt de volée, même si certains déploreront la perte de cette possibilité stratégique.

- Interdiction du déblayage "crocodile"(ou "croc roll" en version originale) afin de renforcer l’accent mis sur la santé des joueurs. Jusqu’alors, ce geste n’était sanctionné que si le déblayeur retombait sur la jambe du défenseur, où impactait avec violence au niveau d’une articulation. Sauf que, malgré tout, ce type de déblayage a généré de nombreuses blessures, notamment musculaires, qui allaient régulièrement jusqu’à la désinsertion des ischio-jambiers. Pour rappel, le talonneur du XV de France Julien Marchand s’était gravement blessé sur un tel déblayage lors du match d’ouverture de la dernière Coupe du monde…

Rucks et plaquages encore à l’étude


En marge des changements de règles, plusieurs sujets sont actuellement entre les mains de groupes de travail spécialisés, dont deux très sensibles…

- Au sujet du ruck: si tous les acteurs du jeu sont d’accord sur le principe que la possibilité de contest au sol est indissociable du rugby à XV, la difficulté pour l’arbitrer est réelle. C’est ainsi que les groupes de travail planchent sur une simplification des règles. Vaste chantier…

- Au sujet du plaquage, même topo: si l’abaissement de la hauteur du plaquage à la taille est un succès dans les compétitions inférieures en France et en Angleterre (entre onze fédérations qui l’ont testé), l’émotion suscitée par ce sujet est encore grande et retarde d’autant sa mise en place.

- Enfin, d’autres groupes de travail planchent actuellement sur les protocoles d’arbitrage vidéo (afin de déterminer de manière optimale ses attributions sans préempter sur l’arbitre central), tout en fixant de nouvelles normes minimales pour les fournisseurs de technologie. Enfin, le sujet d’une réduction du nombre de remplacements à haut niveau est également mis sur la table, afin d’explorer des solutions potentielles pour favoriser la création d’espaces sur le terrain sans augmenter les risques de blessures.

Ce qui va être testé à l'étranger : un seul arrêt au maul, protection des 9...


Parallèlement aux changements évoqués ci-dessus, les Fédérations sont encouragées à mettre en œuvre un ensemble de règles expérimentales, avant d’éventuellement les adopter à l’échelle mondiale. Parmi lesquelles:

- L’extension du "shot clock" aux mêlées et aux touches tout en diminuant le temps alloué à la tentative de coups de pied, qui intéresse fortement le Super Rugby mais doit encore être étudié, notamment au sujet de la sécurité des joueurs qui pourraient être amenés à évoluer en surfatigue. Pour rappel, les buteurs ont aujourd’hui une minute pour tenter une pénalité après désignation des poteaux par l’arbitre, et 1’30’’ pour transformer un essai après que celui-ci a été signalé.

- La possibilité d’effectuer un arrêt de volée à la réception d’un renvoi, afin de privilégier les renvois courts et surtout d’éviter les séquences si stratégiques de "sorties de camp", que l’URC se verrait bien tester dans son championnat.

- L’obligation de jouer le ballon après un premier arrêt du maul, au lieu de deux actuellement. L’idée étant en premier lieu de simplifier l‘arbitrage autour de cette phase de jeu, devenue illisible pour le grand public.

- La protection totale du relayeur derrière les mêlées, ruck et maul, à la suite de premiers essais plutôt convaincants aux États-Unis et dans des compétitions néo-zélandaises.

- Laisser le jeu se dérouler après un lancer pas droit au cas où celui-ci ne serait pas contesté.Ce qui peut paraître de prime abord stupide, mais ne ferait finalement qu’emprunter le chemin de l’introduction en mêlée…

Test mondial pour le carton rouge de 20 minutes

Sujet sensible, le "nouveau" carton rouge devrait bien être lancé dès cet été sous l’influence des nations du Sud, mais seulement sous une phase de test à l’échelle mondiale. Son principe? Exclure définitivement du terrain le joueur sanctionné d’un carton rouge, tout en permettant à son équipe de le remplacer au bout de 20 minutes, afin de ne pas se retrouver avec des matchs "détruits" (pour reprendre le mot des législateurs) comme la finale de la Coupe du monde 2023, où les France-Irlande et France-Italie du dernier Tournoi des 6 nations. Une révolution qui sera étroitement liée à celle des mesures disciplinaires et des sanctions hors terrain, qui devront être rationalisées et simplifiées de manière à être rendues plus cohérentes et plus compréhensibles.

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Message  Scalp Mer 27 Mar 2024 - 12:25

"Aujourd’hui, c’est le rugby des plus" : Fabien Pelous compare le rugby d'aujourd'hui avec celui de son époque

https://www.quinzemondial.com/actualites/-aujourd-hui--c-est-le-rugby-des-plus---fabien-pelous-compare-le-rugby-d-aujourd-hui-avec-celui-de-son-epoque-797931

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Message  Switch Mer 27 Mar 2024 - 15:12

https://www.rugbyrama.fr/2024/03/27/bleu-pacifique-la-saga-des-iliens-en-equipe-de-france-11852762.php

"Bleu pacifique" : la saga des îliens en équipe de France

Lors de la dernière Coupe du monde, quatre des trente-trois Tricolores appelés par Fabien Galthié pour disputer la compétition planétaire étaient originaires du Pacifique. On vous propose, aujourd’hui, de retracer l’histoire de cette extraordinaire filière, comme d’en exposer les prolongements contemporains…


Je ne savais pas trop où mettre çà. Si quelqu'un a l'article complet, svp. Merci Wink

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Message  marchal Jeu 28 Mar 2024 - 0:48

c'est un article dans le magazine du midol.
je l'ai mais je ne suis pas sur bx je n'y serais qu'en fin de semaine donc si scalp me dit comment on fait😉
je te le mettrais avec plaisir.
il parle des lignées taofiffenua, tuilagi... intéressant
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Message  marchal Jeu 28 Mar 2024 - 1:18

en attendant, rugbyrama a publié la partie sur les tao
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/27/bleu-pacifique-la-famille-taofifenua-en-precurseure-11853012.php
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Message  Switch Jeu 28 Mar 2024 - 9:15

marchal a écrit:en attendant, rugbyrama a publié la partie sur les tao
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/27/bleu-pacifique-la-famille-taofifenua-en-precurseure-11853012.php

Bel article. Cette "filiale" du pacifique a encore de sacrés beaux jours devant elle, avec un potentiel énorme. Espérons qu'on fasse le nécessaire pour investir là-bas, améliorer les conditions, et donner leur chance à plus de jeunes.

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Message  marchal Ven 29 Mar 2024 - 2:57

tu as la suite sur rugbyrama avec la famille tuilagi
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Message  marchal Ven 29 Mar 2024 - 17:46

Scalp si tu peux mettre ces 2 articles pour notre ami switch
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/28/bleu-pacifique-la-famille-tolofua-une-veritable-dynastie-11853402.php
https://www.rugbyrama.fr/2024/03/28/bleu-pacifique-les-tuilagi-une-famille-xxl-11855278.php
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Message  marchal Mar 2 Avr 2024 - 14:39


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Top 14 - Les data, c'est leur dada (2/3). "Je regarde en premier les expected points" confie Sébastien Piquero
Nicolas Augot
7–9 minutes

Le manager de la Section paloise évoque sa relation avec sa cellule en charge des data et l’utilisation des données au quotidien.

Comment utilisez-vous les data ? Quels sont les marqueurs intéressants ?
Beaucoup de marqueurs sont intéressants. Nous aimons bien évaluer nos matchs grâce à nos entrées dans les vingt-deux mètres et notre ratio d’efficacité. Nous aimons bien aussi dans nos débriefings avec tous nos leaders avoir des éléments de data, des éléments chiffrés et statistiques qui nous permettent de mieux appréhender nos décisions. Par exemple, les data nous ont aidés à assumer de jouer les pénalités plutôt à la main plutôt que d’aller chercher une touche quand nous sommes proches de la ligne adverse. Elle nous a aidés à nous donner confiance dans notre projet qui est de davantage laisser le ballon sur le terrain que de chercher des touches, pour avoir moins de touches à défendre. Ce sont deux épiphénomènes mais au-delà de ça, beaucoup de données nous sont accessibles par des canaux variés. Il est fondamental aujourd’hui d’avoir une philosophie, une intelligence, une recherche pour piloter ces datas car sinon nous pouvons vite nous noyer dans un mille-feuille d’informations qui ne va pas nous servir à grand-chose car nous n’avons pas le temps pour les traiter. J’ai donc voulu créer une cellule avec une philosophie pour piloter ces data. Surtout cette cellule va travailler au plus près de mes entraîneurs pour challenger chacune de nos orientations et décisions. C’est une aide à notre fonctionnement.

De l’extérieur les data apparaissent comme un fantasme qui permet de savoir exactement comment va jouer l’adversaire et savoir ce qui va se passer ?
Ce n’est pas du tout ma vision. Les data sont une aide à la performance. C’est un support comme beaucoup d’autres, comme le management d’un joueur, la détermination d’un joueur, l’accompagnement du préparateur physique auprès d’un joueur, l’accompagnement médical, l’accompagnement technique. C’est un support comme un autre, même si on veut l’optimiser, mais il doit être à sa place au milieu et en interaction d’une multitude de facteurs. On sera toujours un sport de décisions humaines et d’interaction avec les hommes.

Les data ont pris une place importante dans la communication. Faut-il s’en méfier ?
Ce n’est qu’une opportunité quand on l’utilise intelligemment et à bon escient. La richesse vient de là. C’est la même chose que l’arbitrage vidéo au niveau professionnel. Des fois, les data, l’analyse vidéo ou les statistiques me servent à renforcer la confiance sur des secteurs déjà performants de mes joueurs ou de mon collectif. Les data ne me font rien découvrir mais m’aident à avoir une confiance objective sur un secteur et donc de décupler cette confiance auprès de mes joueurs. Je n’ai pas de fantasme sur la toute-puissance de ce support mais quand on se veut professionnels, il faut optimiser tous les leviers de performance et les data en font partie.

Quelle est la donnée que vous n’avez pas encore et dont vous rêvez ?
J’ai des équipes qui assouvissent toutes mes demandes et qui sont très réactives sur mes demandes. Le plus important pour moi est d’avoir des garçons innovants, pétillants et intelligents pour être toujours dans la recherche. C’est toujours l’intelligence humaine qui pilote les plus grands changements. Les data ne sont qu’une information.

C’est un outil prédominant dans le rugby moderne mais, au-delà des éléments de communication et des effets de mode, en quoi les data aident réellement à la performance au quotidien.https://t.co/794dQBk08z
— RUGBYRAMA (@RugbyramaFR)

Quelle est la donnée que vous regardez en premier après match ?
Je regarde en premier les expected points car elle me permet d’avoir un œil avisé sur notre identité de jeu et elle m’aide beaucoup à la renforcer. Ce n’est pas une donnée magique mais elle m’aide. Après le match, nous ne voulons pas beaucoup de données, seulement trois ou quatre fichiers, pour avoir un flash sur le match.

Une data toute simple démontre que la Section fait beaucoup plus de passes, comment l’analysez-vous ?
Comme toute data, il faut la mettre dans un contexte. Pour le faire intelligemment, Ça prendrait deux jours. Mais déjà, nous pouvons regarder un premier marqueur : nous sommes l’équipe avec le plus de temps de jeu effectif. Par rapport à La Rochelle, c’est quasiment 17-18 % de plus. Heureusement donc que l’on réalise plus de passes que La Rochelle car nous jouons plus longtemps. Deuxièmement, notre identité de jeu est marquée par notre volonté d’avoir des cellules d’avants très vivantes et ça ne changera pas. Nous voulons créer l’incertitude sur la ligne d’avantage et tous nos joueurs ont la liberté de faire des passes dans l’axe, intérieures et extérieures. On va le garder et ça fait augmenter notre nombre de passes. Donc, il est impossible de se comparer avec La Rochelle. Sinon, il faudrait diminuer de 20 % notre temps de jeu effectif pour que ce soit parlant.

Est-ce que les data, qui permettent de comparer le jeu des équipes, peuvent vous faire douter sur votre jeu ?
La donnée peut amener de la régulation ou de l’adaptation sur notre façon de fonctionner. Mais la réussite d’un projet est d’avoir bien bâti l’architecture de celui-ci et de garder le cap. Les données m’aident et me confortent pour garder ce cap. Ça ne va pas dire qu’il ne faut pas s’adapter car il y a des millions de chemins pour l’atteindre. Je suis donc assez à l’aise avec les data qui m’aident pour m’aiguiller sur le chemin mais jusqu’à maintenant je ne me suis jamais posé la question de changer le cap.
Top 14 - Les Palois aiment à déplacer le ballon cette saison.
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Les data ne remettent pas en cause vos convictions ?
Il y a eu des data challengeantes. Après analyse de notre capacité à défendre les ballons portés, notre capacité à défendre les ballons en l’air, et le fait que maintenant 40 % des essais viennent après lancement sur touche, nous avons décidé à laisser le ballon sur le terrain. C’est les data qui nous ont aidés à franchir ce cap dans notre projet de jeu. On voulait le faire mais en voyant les données, cela a accéléré notre certitude.

Quelle est l’importance du rapport d’avant-match avec les données de votre adversaire ?
Le Top 14 est une compétition particulière avec beaucoup de rotations d’effectif et des identités de jeu très marquées par club. En termes d’analyse, nous ne regardons que les trois derniers matchs de l’équipe ciblée, sinon ce serait fabriquer un mille-feuilles qui serait peu exploitable. Après, chacun de mes entraîneurs me donne par secteur les vigilances et les opportunités, donc on ne fait absolument pas un catalogue de l’équipe adverse. Il faut cibler les opportunités que nous pouvons avoir. Et après je choisis si nous les utilisons ou pas. En effet, parfois, il est aussi opportun de négliger certains éléments pour ne pas perdre les joueurs. Saupoudrer trop d’informations, c’est la certitude de se planter. Mon métier est donc d’avoir toutes les informations et de les sélectionner.
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Message  marchal Mar 2 Avr 2024 - 14:39

https://www.rugbyrama.fr/2024/04/02/international-les-nouvelles-regles-de-world-rugby-sont-une-folie-sinsurge-rob-baxter-entraineur-dexeter-11864521.php
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Message  Scalp Mar 9 Avr 2024 - 9:33

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Andre-boniface-a-cree-le-french-flair/1459685

Mort d'André Boniface : le créateur du French Flair

Avec André Boniface, décédé ce lundi, le jeu « à la française », mélange d'inspiration collective, d'esthétique maîtrisée et de précision technique, a acquis dans les années 60 ses lettres de noblesse. Retour sur la naissance d'un mythe.

Richard Escot

Avant lui, le numéro 12 n'était pas particulièrement prisé par les attaquants, ni clairement identifié. Ce maillot était porté par celui des trois-quarts qui avait la meilleure passe de gauche à droite, et décidait donc de qui jouerait premier centre, côté gauche du terrain. À partir du moment - 1957 - où André Boniface fut définitivement sélectionné à ce poste en équipe de France plutôt qu'à l'aile où les sélectionneurs l'avaient placé lors de sa première apparition en 1954 face à l'Angleterre, le maillot numéro 12 devint le symbole du créateur.

Avant lui, le Bayonnais Jean Dauger et le Lourdais Roger Martine avaient marqué leur époque - les années 30 et 40 pour « Manech », les années 50 pour « Bichon » - par des percées tranchantes, des passes millimétrées et le sens altruiste du décalage, cette envie irrépressible de servir du mieux possible le partenaire placé à l'extérieur, au large, pour la placer dans l'intervalle. Avec son « cadrage-débordement », expression inventée par le chantre Denis Lalanne, Jean Dauger mystifiait les défenseurs ; avec sa technique irréprochable de la fixation, Roger Martine arrêtait son vis-à-vis.

Boniface éleva l'attaque au rang d'un art


Dauger, doué de faconde, fut le père spirituel d'André Boniface. Martine, bien plus austère, son modèle. Mais quand le rejeton de ces deux belles écoles de jeu, la bayonnaise et la lourdaise, prit à 20 ans son essor à Mont-de-Marsan, André Boniface éleva l'attaque au rang d'un art. En à peine cinq ans, il personnifia comme personne d'autre avant lui le jeu « à la française ». Son diminutif, qui revêtait à son égard toutes les marques d'estime et de respect, sonna alors comme un mot de passe : Dédé Boni !

Son aura fut si grande auprès de ses pairs entre 1954 et 1970, année à l'issue de laquelle il mit un terme définitif à sa carrière, que le col du maillot relevé - sa signature - identifiait tous les trois-quarts tournés vers l'offensive, signe de reconnaissance que sa descendance rugbystique, lignée qui va de Jo Maso à Gaël Fickou en passant par Didier Codorniou, Patrick Nadal, François Sangali, Philippe Sella, Denis Charvet, Franck Mesnel, Thomas Castaignède et consorts, mit un point d'honneur conserver. Mieux, à chérir.

Avant lui, le football-rugby (c'est son nom de baptême) se jouait beaucoup au pied, le dégagement direct en touche quel que soit l'endroit du terrain favorisant le gagne-terrain. On vit ainsi, dans les années 50, 111 touches lors d'un Écosse-Galles de triste mémoire. Attaquer en se passant le ballon demandait un zeste d'inconscience et surtout à ce que chaque trois-quarts prenne six à dix mètres de profondeur, les troisième-lignes ailes et le demi de mêlée étant autorisés à suivre la progression du ballon dans le camp adverse lors des mêlées ordonnées. Imaginez un instant la pression défensive...

Quand surgit André Boniface, le jeu s'en trouva changé à jamais

Dans ce contexte anxiogène, le jeu d'attaque des Français, surtout depuis leur propre camp, frisait l'irrationnel et le contre-productif. Et il fallait le génie solitaire d'un Dauger et d'un Jacky Bouquet, mais aussi la maîtrise technique et la rigueur collective des trois-quarts Lourdais pour traverser dans le Tournoi les défenses d'un crochet. Mais quand surgit André Boniface dans toute sa splendeur, à l'orée des années 60, le jeu s'en trouva changé. A jamais.

Entouré par ses amis Pierre Albaladejo à l'ouverture, son fidèle ailier Christian Darrouy et surtout son frère Guy, André illumina les Cinq Nations au point que le pape du journalisme outre-Manche, le très respecté Pat Marshall, baptisa « French Flair » ces ruées tricolores sorties de nulle part, cavalcades obliques, courses biseautées perlées de passes et redressées à la façon d'un matador, buste droit, dos cambré, appuis affirmés. Ce grand reporter ovale n'avait rien compris à la haute technicité, individuelle et collective, incluse dans ces attaques et ces relances mais résuma ce qui lui échappait d'une formule qui n'a jamais cessé d'éclore depuis.

On peut l'affirmer sans craindre de se tromper : par son exigence au service du jeu de ligne, par son charisme communicatif, par la rigueur qu'il mit dans son placement sur le terrain, le sien et celui de ses coéquipiers devenus héraults et disciples, André Boniface fut l'inventeur du French Flair. Autant que la figure emblématique. Il faut l'avoir entendu râler sur le terrain pour une passe mal ajustée, une course trop prompte... Incarnation de l'ego surdimensionné, il détestait les individualistes et ne jurait que par l'esprit collectif.

Ce French Flair dont il était porteur, il l'avait d'abord inoculé aux « gros » du pack. Sans eux, travailleurs de l'ombre et avants coureurs, point de salut. Moncla, Crauste, Dauga, Walter Spanghero, Rupert, Domenech, tous s'en remettaient à lui. Le jeu « à la française » est d'abord un esprit d'équipe : l'intraitable montois en fut, tout au long de son existence, le garant. Devenu spectateur, ces coups de coeur et de gueule au stade ou devant son écran de télévision avaient valeur d'accessit ou jetaient l'opprobre sur le fautif, coupable dans l'instant de trahir ce que ce jeu avait à ses yeux de plus noble : la transmission.

Dimanche après-midi à Bayonne, dans sa chambre d'hôpital, il a apprécié le huitième de finale de Coupe des Champions entre le Stade Toulousain et le Racing 92, vibré une dernière fois au jeu debout toulousain, aux relances enthousiastes conclues quatre-vingt mètres plus loin, au plaisir qu'offre la précision des passes. Avant de s'éteindre, le coeur fatigué d'avoir tant aimé le rugby tel qu'il l'avait prôné jusqu'à l'excès, sublimé plus que quiconque et perpétué, sept décennies durant.

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Message  léopold Mar 9 Avr 2024 - 9:50

Dans sa liste François Trillo ne figure pas,peut être que le Gersois aurait gaché son talent à Bègles?
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Message  Scalp Ven 19 Avr 2024 - 13:53

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-la-touche-les-rend-cingles/1461973

Code secret, bluff et alchimie... la touche, secteur complexe et hautement stratégique

Depuis quelques années, la touche est devenue incontournable, en attaque comme en défense, pour sortir de son camp. Dans toutes les équipes de haut niveau, un voire deux entraîneurs s'occupent de ce secteur où bluff, instinct et vitesse sont indispensables.


Dominique Issartel

« Patrick Tabacco, la touche, il ne pensait qu'à ça ! » se souvient Julien Puricelli, ancien troisième-ligne réputé pour ses contres, aujourd'hui spécialiste de ce secteur dans le staff du LOU. Coéquipiers à Castres, au début des années 2000, ils font partie de ces joueurs ayant développé un vrai savoir-faire en matière de touche, qu'ils essaient de transmettre aujourd'hui.

Tabacco, surnommé « l'Albatros » pour son envergure dans les airs, aujourd'hui consultant auprès de la sélection belge, résume brièvement : « Quand on a démarré, on n'avait pas le droit aux ascenseurs et il y avait beaucoup de filouteries dans les alignements. Cela a changé en 1997, pour rendre cette phase de jeu plus propre et plus lisible pour les arbitres et le public. Nous sommes des autodidactes, on a tout appris sur le tas : le lift, le contre, tout ça n'existait pas. »

Aujourd'hui, ce sont ces anciens joueurs qu'on retrouve aux manettes de la touche dans les clubs de Top 14 : Julien Puricelli à Lyon, Romain Carmignani à La Rochelle, Jean Bouilhou à Toulouse, Antoine Battut à Montpellier, Sergio Parisse à Toulon, Karim Ghezal au Stade Français (même s'il est entraîneur en chef aujourd'hui), Yannick Caballero à Castres... Il y a aussi d'anciens talonneurs, comme Dimitri Szarzewski au Racing 92 car, dit-il, « c'est un poste où on a développé une compréhension du timing à force de lancer sous pression, on connaît toutes les combinaisons et on est exigeants avec les sauteurs et les lifteurs. »

La touche un boulot à temps plein


S'occuper de la touche, depuis quatre ou cinq ans, est devenu un boulot à plein temps. « Les statistiques montrent que plus de 40 % des essais ont pour origine une touche, constate Julien Puricelli. Avec l'importance prise par le jeu au pied, c'est également devenu un point important en défense. Stratégiquement, les positions des touches ont évolué par rapport à ce fort jeu d'occupation. On fait désormais des sorties de camp en utilisant la touche. Cela génère de plus en plus d'attention sur ce secteur. » Avec le stress et la pression qui vont avec.

Quand ils préparent un match de Top 14, où en moyenne 28 touches vont être disputées (27 en matches internationaux), joueurs, analystes vidéo et entraîneurs concernés donnent l'impression d'être figurants dans un film d'espionnage. Il faut les voir, casque sur la tête, demander le silence autour d'eux car ils ont cru repérer un mot, un geste en rapport avec une combinaison en touche. « C'est comme si on déchiffrait un code, rigole Romain Briatte, un des lifteurs du Stade Français, perturbateur reconnu des touches adverses. En général, ce sont des mots courts, une syllabe pas plus, ou des mouvements imperceptibles : un mec qui se touche un sourcil. Quand on trouve, ça fait plaisir. »

Mais cela peut aussi se retourner contre ces casseurs de code, comme le raconte Puricelli : « Lors d'un match contre Clermont, on avait décrypté les codes de Rob Simmons (deuxième-ligne). Il se touchait le menton, tendait un bras vers le bas. On avait missionné notre leader de touche pour qu'il s'adapte en fonction de ça. On avait bossé toute la semaine dessus. On a contré le premier ballon mais Simmons s'en est aperçu et s'est adapté. Toute notre stratégie défensive, basée sur ses codes à lui, est tombée à l'eau. »

Gérer les sorties et les sorties de secours

Car aujourd'hui, chaque annonce se décompose en plusieurs options. « Avant, on avait une seule sortie (possibilité) par annonce, explique Puricelli. Aujourd'hui, les joueurs doivent avoir deux ou trois sorties par annonce pour pouvoir changer au dernier moment. L'intérêt mis sur ce secteur a complexifié les choses, c'est devenu ultra-compétitif, toutes les équipes s'attachent à contrer l'adversaire. »

« Si j'annonce un milieu de touche, précise Briatte, et qu'en face je vois que l'adversaire a constitué un bloc à cet endroit, je dois être capable de changer en une fraction de seconde. On appelle ça les sorties de secours. C'est beaucoup de répétitions à l'entraînement et ce n'est pas simple pour les talonneurs qui doivent modifier leur lancer. Il y a beaucoup de bluff, on se tourne d'un côté alors qu'on va soutenir de l'autre, on amorce un mouvement des bras vers le haut alors que c'est un autre joueur qui doit capter la balle... »

De l'extérieur, le langage des joueurs de touche semble incompréhensible, amalgame de chiffres, de lettres et de mots. « Il faut trouver un moyen de nommer le sauteur, la zone où on va lancer et quel mouvement on va exécuter, explique Szarzewski. Les mouvements gardent les mêmes noms d'une année sur l'autre mais à l'intérieur, il y a des dizaines de possibilités. »

« À Castres, on utilisait des couleurs, se souvient Puricelli. Les chiffres restent les mêmes, peu importe le mouvement. Si tu as trois gars serrés devant, le premier sera toujours le 1, le deuxième le 2... Le B3, c'est le mouvement B avec le sauteur 3 qui saute. »

Plus que sur la complexité des annonces, la différence se fait aujourd'hui sur la précision et la rapidité d'exécution, pour les touches offensives, et sur l'étude de l'adversaire pour les touches défensives. « Tout est tellement scruté, note Patrick Tabacco, que demain, dans les staffs, il y aura un entraîneur pour les touches offensives et un autre pour les touches défensives. » C'est déjà le cas dans certains clubs, comme à La Rochelle, avec Donnacha Ryan et Romain Carmignani, ou au Racing 92 avec Dimitri

Entre alchimie et décryptage de codes


« Selon moi, la défense et la défense en touche sont indissociables, estime Carmignani. Toutes les semaines, on essaie, avec nos leaders de touche défensive (Skelton, Piquette, Haddad), qui ne sont pas les mêmes que ceux de la touche offensive, de trouver des moyens de forcer l'attaque adverse à lancer dans certaines zones. Devant, bien sûr, pour qu'ils aient une plus longue passe à faire mais surtout, on s'attache à brouiller les pistes d'un week-end sur l'autre pour que les adversaires ne sachent pas où lancer. »

Contrairement à La Rochelle, qui ne saute pas pour défendre en touche mais gêne l'adversaire en contrant au sol, le Racing 92 est la seule équipe du Top 14 à défendre en miroir, chaque joueur en réaction sur son vis-à-vis, plutôt qu'en bloc (c'est-à-dire en ciblant des zones à l'avance avec des blocs de joueurs). « C'est une question de culture mais aussi d'effectif, analyse Szarzewski. Nous pouvons aligner sept joueurs capables de sauter ou de lifter, des gars au gabarit plus léger (Chouzenoux, Woki, Lauret, Baudonne). C'est plus de travail à mettre en place mais le fait de savoir qu'on défend toutes les touches, cela met les talonneurs adverses sous pression. »

Pour Patrick Tabacco, la touche est une alchimie. « Il faut de très bons sauteurs, c'est-à-dire des gars performants en l'air mais capables de passer au soutien en 1 dixième de seconde ; des gars qui lisent très vite une situation en englobant plusieurs paramètres (position des adversaires, attitude, vent, mouvements de leurre), genre Abadie, Macalou, Chouzenoux, Flament.

Et il faut confronter ceux qui ne font pas leur boulot : un pilier qui doit lever un deuxième-ligne, il ne doit se concentrer que là-dessus, s'il regarde ailleurs et essaie lui aussi de voir où va le ballon, il sera en retard pour lifter, c'est mathématique. Il n'y a pas de secret, quand on déclenche le saut au dernier moment, dans une sorte d'urgence qui donne à la structure toute sa vivacité, et que le lancer est précis, les gars en face auront pu décrypter tous les codes, le ballon sera impossible à contrer. »

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Message  Scalp Ven 19 Avr 2024 - 13:55

Je ne sais pas si c'est la bonne traduction, c'est celle de Deepl en tout cas think mais, "no touch, no win", la touche est devenue un élément bien plus stratégique que par le passé…, une faiblesse pour l'UBB, qu'on devra absolument mieux travailler…

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Message  Dr. Gregory Bouse Ven 19 Avr 2024 - 19:19

Scalp a écrit:https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Pourquoi-la-touche-les-rend-cingles/1461973

Code secret, bluff et alchimie... la touche, secteur complexe et hautement stratégique

Depuis quelques années, la touche est devenue incontournable, en attaque comme en défense, pour sortir de son camp. Dans toutes les équipes de haut niveau, un voire deux entraîneurs s'occupent de ce secteur où bluff, instinct et vitesse sont indispensables.


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« Patrick Tabacco, la touche, il ne pensait qu'à ça ! » se souvient Julien Puricelli, ancien troisième-ligne réputé pour ses contres, aujourd'hui spécialiste de ce secteur dans le staff du LOU. Coéquipiers à Castres, au début des années 2000, ils font partie de ces joueurs ayant développé un vrai savoir-faire en matière de touche, qu'ils essaient de transmettre aujourd'hui.

Tabacco, surnommé « l'Albatros » pour son envergure dans les airs, aujourd'hui consultant auprès de la sélection belge, résume brièvement : « Quand on a démarré, on n'avait pas le droit aux ascenseurs et il y avait beaucoup de filouteries dans les alignements. Cela a changé en 1997, pour rendre cette phase de jeu plus propre et plus lisible pour les arbitres et le public. Nous sommes des autodidactes, on a tout appris sur le tas : le lift, le contre, tout ça n'existait pas. »

Aujourd'hui, ce sont ces anciens joueurs qu'on retrouve aux manettes de la touche dans les clubs de Top 14 : Julien Puricelli à Lyon, Romain Carmignani à La Rochelle, Jean Bouilhou à Toulouse, Antoine Battut à Montpellier, Sergio Parisse à Toulon, Karim Ghezal au Stade Français (même s'il est entraîneur en chef aujourd'hui), Yannick Caballero à Castres... Il y a aussi d'anciens talonneurs, comme Dimitri Szarzewski au Racing 92 car, dit-il, « c'est un poste où on a développé une compréhension du timing à force de lancer sous pression, on connaît toutes les combinaisons et on est exigeants avec les sauteurs et les lifteurs. »

La touche un boulot à temps plein


S'occuper de la touche, depuis quatre ou cinq ans, est devenu un boulot à plein temps. « Les statistiques montrent que plus de 40 % des essais ont pour origine une touche, constate Julien Puricelli. Avec l'importance prise par le jeu au pied, c'est également devenu un point important en défense. Stratégiquement, les positions des touches ont évolué par rapport à ce fort jeu d'occupation. On fait désormais des sorties de camp en utilisant la touche. Cela génère de plus en plus d'attention sur ce secteur. » Avec le stress et la pression qui vont avec.

Quand ils préparent un match de Top 14, où en moyenne 28 touches vont être disputées (27 en matches internationaux), joueurs, analystes vidéo et entraîneurs concernés donnent l'impression d'être figurants dans un film d'espionnage. Il faut les voir, casque sur la tête, demander le silence autour d'eux car ils ont cru repérer un mot, un geste en rapport avec une combinaison en touche. « C'est comme si on déchiffrait un code, rigole Romain Briatte, un des lifteurs du Stade Français, perturbateur reconnu des touches adverses. En général, ce sont des mots courts, une syllabe pas plus, ou des mouvements imperceptibles : un mec qui se touche un sourcil. Quand on trouve, ça fait plaisir. »

Mais cela peut aussi se retourner contre ces casseurs de code, comme le raconte Puricelli : « Lors d'un match contre Clermont, on avait décrypté les codes de Rob Simmons (deuxième-ligne). Il se touchait le menton, tendait un bras vers le bas. On avait missionné notre leader de touche pour qu'il s'adapte en fonction de ça. On avait bossé toute la semaine dessus. On a contré le premier ballon mais Simmons s'en est aperçu et s'est adapté. Toute notre stratégie défensive, basée sur ses codes à lui, est tombée à l'eau. »

Gérer les sorties et les sorties de secours

Car aujourd'hui, chaque annonce se décompose en plusieurs options. « Avant, on avait une seule sortie (possibilité) par annonce, explique Puricelli. Aujourd'hui, les joueurs doivent avoir deux ou trois sorties par annonce pour pouvoir changer au dernier moment. L'intérêt mis sur ce secteur a complexifié les choses, c'est devenu ultra-compétitif, toutes les équipes s'attachent à contrer l'adversaire. »

« Si j'annonce un milieu de touche, précise Briatte, et qu'en face je vois que l'adversaire a constitué un bloc à cet endroit, je dois être capable de changer en une fraction de seconde. On appelle ça les sorties de secours. C'est beaucoup de répétitions à l'entraînement et ce n'est pas simple pour les talonneurs qui doivent modifier leur lancer. Il y a beaucoup de bluff, on se tourne d'un côté alors qu'on va soutenir de l'autre, on amorce un mouvement des bras vers le haut alors que c'est un autre joueur qui doit capter la balle... »

De l'extérieur, le langage des joueurs de touche semble incompréhensible, amalgame de chiffres, de lettres et de mots. « Il faut trouver un moyen de nommer le sauteur, la zone où on va lancer et quel mouvement on va exécuter, explique Szarzewski. Les mouvements gardent les mêmes noms d'une année sur l'autre mais à l'intérieur, il y a des dizaines de possibilités. »

« À Castres, on utilisait des couleurs, se souvient Puricelli. Les chiffres restent les mêmes, peu importe le mouvement. Si tu as trois gars serrés devant, le premier sera toujours le 1, le deuxième le 2... Le B3, c'est le mouvement B avec le sauteur 3 qui saute. »

Plus que sur la complexité des annonces, la différence se fait aujourd'hui sur la précision et la rapidité d'exécution, pour les touches offensives, et sur l'étude de l'adversaire pour les touches défensives. « Tout est tellement scruté, note Patrick Tabacco, que demain, dans les staffs, il y aura un entraîneur pour les touches offensives et un autre pour les touches défensives. » C'est déjà le cas dans certains clubs, comme à La Rochelle, avec Donnacha Ryan et Romain Carmignani, ou au Racing 92 avec Dimitri

Entre alchimie et décryptage de codes


« Selon moi, la défense et la défense en touche sont indissociables, estime Carmignani. Toutes les semaines, on essaie, avec nos leaders de touche défensive (Skelton, Piquette, Haddad), qui ne sont pas les mêmes que ceux de la touche offensive, de trouver des moyens de forcer l'attaque adverse à lancer dans certaines zones. Devant, bien sûr, pour qu'ils aient une plus longue passe à faire mais surtout, on s'attache à brouiller les pistes d'un week-end sur l'autre pour que les adversaires ne sachent pas où lancer. »

Contrairement à La Rochelle, qui ne saute pas pour défendre en touche mais gêne l'adversaire en contrant au sol, le Racing 92 est la seule équipe du Top 14 à défendre en miroir, chaque joueur en réaction sur son vis-à-vis, plutôt qu'en bloc (c'est-à-dire en ciblant des zones à l'avance avec des blocs de joueurs). « C'est une question de culture mais aussi d'effectif, analyse Szarzewski. Nous pouvons aligner sept joueurs capables de sauter ou de lifter, des gars au gabarit plus léger (Chouzenoux, Woki, Lauret, Baudonne). C'est plus de travail à mettre en place mais le fait de savoir qu'on défend toutes les touches, cela met les talonneurs adverses sous pression. »

Pour Patrick Tabacco, la touche est une alchimie. « Il faut de très bons sauteurs, c'est-à-dire des gars performants en l'air mais capables de passer au soutien en 1 dixième de seconde ; des gars qui lisent très vite une situation en englobant plusieurs paramètres (position des adversaires, attitude, vent, mouvements de leurre), genre Abadie, Macalou, Chouzenoux, Flament.

Et il faut confronter ceux qui ne font pas leur boulot : un pilier qui doit lever un deuxième-ligne, il ne doit se concentrer que là-dessus, s'il regarde ailleurs et essaie lui aussi de voir où va le ballon, il sera en retard pour lifter, c'est mathématique. Il n'y a pas de secret, quand on déclenche le saut au dernier moment, dans une sorte d'urgence qui donne à la structure toute sa vivacité, et que le lancer est précis, les gars en face auront pu décrypter tous les codes, le ballon sera impossible à contrer. »

Quand on voit l'importance des vrais jumpers du Racing et que nous n'avons plus à l'UBB sauf Petti et Jolmes qui ne joue pas.

Article à afficher dans le vestiaire, même si je reste persuadé que le staff est parfaitement sensiblisé sur ce point tactique.
Va quand même falloir drôlement s'améliorer dans ce secteur si on veut briller au plus haut niveau.

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