Re: Finale Top 14 saison 2021/2022 - Castres / MHR

**Scalp** Ven 24 Juin 2022 - 21:26

nadoloubb a écrit:C'est bien celui qui elemine l'Ubb en phase finale est champion :
L'année dernière bristol et 2 fois le stade toulousain
Cette année la Rochelle et peut être montpellier

nadoloubb Ven 24 Juin 2022 - 21:27

Scalp a écrit:
nadoloubb a écrit:C'est bien celui qui elemine l'Ubb en phase finale est champion :
L'année dernière bristol et 2 fois le stade toulousain
Cette année la Rochelle et peut être montpellier

**Big'Ben** Ven 24 Juin 2022 - 21:50

Je vais me répéter, mais Mercer... Quel joueur... Il est puissant et en plus il est adroit et intelligent.

**marchal** Ven 24 Juin 2022 - 22:08

T'as raison vraiment magnifique à voir jouer.
J'étais pas vraiment tenter à regarder cette finale mais en définitive elle est agréable à regarder même si pour l'heure il n'y a qu'une équipe sur le terrain.
Espérons que les castrais vont refaire un peu leur retard histoire d'avoir un peu de suspens

**Scalp** Ven 24 Juin 2022 - 22:30

Si le MHR gagne, je serais vraiment content pour Guirado, avec tout le paquet de merde qu’il a avalé avec l’EDF, sans jamais faillir dans son engagement, un exemple de courage quand c’était la loose la plus totale, respect…

**Big'Ben** Ven 24 Juin 2022 - 22:41

C'est finit, Broncan qui s'en remet presque au ciel en disant "ça va finir par sourire", un coach qui dit ça c'est un coach qui a abdiqué selon moi. Tu peux pas te dire "ça va finir par passer" si tu proposes pas de solution, sauf que là on dirait vraiment qu'il est sans solution, même en jouant chez le MHR ils ne trouvent pas de solutions et ne concrétise pas. La défense du MHR est souvent à la faute mais ça ne passe pas...

**Scalp** Ven 24 Juin 2022 - 22:46

Big'Ben a écrit:C'est finit, Broncan qui s'en remet presque au ciel en disant "ça va finir par sourire", un coach qui dit ça c'est un coach qui a abdiqué selon moi. Tu peux pas te dire "ça va finir par passer" si tu proposes pas de solution, sauf que là on dirait vraiment qu'il est sans solution, même en jouant chez le MHR ils ne trouvent pas de solutions et ne concrétise pas. La défense du MHR est souvent à la faute mais ça ne passe pas...

Ouep, de ce que je vois en cette deuxième mi-temps, le MHR, c’est le mur de l’Atlantique :chambreur:

**patrick** Ven 24 Juin 2022 - 23:01

Montpellier est bien l'équipe de St André, si tu as le malheur d'être mené au score par eux, ils se recroquevillent et deviennent impassables. Pas flamboyant mais une équipe redoutable quand elle peut gérer.
Par contre les besogneux Castrais voient leurs limites. Incapables de jouer 2 weekend de suite. Leur jeu est 200% basé sur l'énergie. Là ils sont en panne d'essence. Ils sont là parce qu'ils finissent premiers grâce aux doublons et à la coupe d'Europe qu'ils ont balancée.
Très peu d'internationaux sur le terrain. Un peu une finale d'usurpateurs.

**Switch** Ven 24 Juin 2022 - 23:53

Big'Ben a écrit:Je vais me répéter, mais Mercer... Quel joueur... Il est puissant et en plus il est adroit et intelligent.

Il va repartir jouer en Angleterre, car Jones veut le rapatrier. Si ce n'est pas cet été, ce sera l'été prochain. Sacré joueur, en tout cas. Exactement ce qu'il nous a manqué cette saison : un 8 de très haut niveau. Picamoles a été trop irrégulier, hélas, pour vraiment changer les choses.

Assez mitigé du résultat, car je ne peux m'empêcher d penser que quelque part, c'est Altrad qui gagne, alors que je vomis ce type. Et puis PSA, bon... Après, ça a le mérite de changer un peu et d'apporter de la nouveauté.

Effectivement je note qu'on perd systématiquement contre le champion ! On a pas de bol ! :chambreur:

C'est encore plus dommage de se dire que contre ce CO, on avait nos chances...

**patrick** Sam 25 Juin 2022 - 2:02

En étant très prudent contre le mhr en demi-finale, on a pris le risque de les laisser prendre l'avantage ... ce qu'il ne faut absolument pas faire avec eux. Certes on avait un match de plus qu'eux dans les pattes mais il fallait peut-être davantage tenter d'entrée. Ceci étant dit ils me semblaient bien plus prêts et organiser que nous. Altrad et st André ont construit un gros staff et j'ai l'impression qu'ils ont vraiment bien bossé pour organiser cette équipe qui il y a 2 ans était au fond du trou. Aujourd'hui ce n'est pas flamboyant mais diablement efficace. Si on ne les perturbe pas d'entrée, c'est un monolithe quasi infranchissable. Nous avec plus de confiance ou le ST leur auraient sans doute posé plus de problème. En fait tout le monde parmis les 6 sauf le CO qui avait atteint voire déjà dépassé son pic de performances.
Enfin bravo à eux et on verra bien l'année prochaine si on a appris.

**densnewzealand** Sam 25 Juin 2022 - 9:28

Cette équipe du MHR est rentrée dans le game après des années de financement sans limites, il suffisait de mettre un staff madré de Français… bref , avec les moyens illimités de Altrad, on va se les fader un moment . Heureusement le salary cap est la . En espérant qu’ils Joue le jeu en hcup… quand on pense qu’il ont ce N8 Fidjien énorme sui ne joue quasiment pas…

Charles_ubb Sam 25 Juin 2022 - 10:02

densnewzealand a écrit:Cette équipe du MHR est rentrée dans le game après des années de financement sans limites, il suffisait de mettre un staff madré de Français… bref , avec les moyens illimités de Altrad, on va se les fader un moment . Heureusement le salary cap est la . En espérant qu’ils Joue le jeu en hcup… quand on pense qu’il ont ce N8 Fidjien énorme sui ne joue quasiment pas…

Je suis allé chercher sur leur site et je le trouvais pas. Dakuwaqa. En fait il a une catégorie spéciale rien qu’en pour lui dans les postes rire

C’est clair que ça serait pas une mauvaise addition pour nous :)

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 10:21

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Se-transformer-pour-surprendre-la-strategie-de-montpellier-en-finale/1340285

Se transformer pour surprendre : la stratégie gagnante de Montpellier en finale

Habituellement froid et calculateur, le MHR a surpris son monde, et Castres en premier, en développant un rugby de mouvement spectaculaire et efficace lors des 20 premières minutes de la finale du Top 14, vendredi (29-10).

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Arthur Vincent sert Anthony Bouthier d'une passe aveugle pour le troisième essai de Montpellier. (A. Mounic/L'Équipe)

Alex Bardot

À une demi-heure du coup d'envoi, profitant d'un temps de récupération dans leur échauffement, les trois-quarts de Montpellier se sont réunis au coeur de la pelouse du Stade de France pour un dernier briefing entre eux. Une caméra et un micro de Canal + capte la scène. Geoffrey Doumayrou est le premier à prendre la parole : « Si on a un coup à jouer, on le fait à 100 %. » Anthony Bouthier embraye : « Ils vont se serrer (en défense). On se regarde sur les extérieurs. Ces coups vont être bons à jouer, il faut aller au fond. » Cette discussion est une preuve. Celle de la préméditation. Les nouveaux champions de France voulaient faire ce qu'ils ont réussi durant les 20 premières minutes de la finale. La dynamique du match, le hasard des situations, les prises d'initiatives individuelles ont évidemment compté dans leurs trois essais, mais beaucoup moins que le plan stratégique établi dans la semaine.

On devine en partie son contenu en observant les points communs à ces actions du début de match. Sur chacune, les Castrais ont plaqué « dans le vide », soit parce que le porteur montpelliérain avait fait la passe avant d'être pris, soit parce qu'il a fait la passe pendant le plaquage. Le MHR voulait donc déplacer le ballon, pour contourner la pression et la densité physique adverses, éviter ces rucks que le CO aime ralentir. Ce style n'était pas vraiment dans ses habitudes cette saison, mais il avait déjà montré un côté transformiste, une capacité à varier les angles d'attaque selon les adversaires et à utiliser les ballons de récupération. Vendredi soir, pendant 20 minutes, l'éléphant montpelliérain s'est transformé en gazelle pour conquérir son premier titre de champion de France. Voilà comment, essai par essai.

Épisode 1 : Paillaugue-Mercer, le coeur et la classe

Il est délicat de situer le tournant d'un match à la 5e minute. Mais l'essai initial d'Arthur Vincent a eu un poids important dans le déroulé et la dynamique de la finale. Il a mis un coup de massue aux Castrais, qui étaient en position de force au départ de l'action et se sont sabordés. Et il a donné aux Montpelliérains la confiance nécessaire pour jouer comme ils l'ont fait ensuite.

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(Canal +)

Au départ, donc il y a cette situation favorable au CO. Reprenant leur stratégie du match aller de la phase régulière entre les deux équipes, les Tarnais ont visé les couloirs et ont réussi à y avancer. Ici, après une offensive longue d'une minute, Botitu (cercle rouge) est plaqué par deux Héraultais (dont Paillaugue), avec un 2 contre 0 à sa gauche. Le Fidjien ne peut pas faire la passe, mais s'il conserve la possession, il peut y avoir essai. Mais en le plaquant, Paillaugue lui arrache le ballon. Mercer est dans la zone.

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(Canal +)

Montpellier s'est dégagé par Bouthier. Mercer est monté rapidement et se retrouve face à l'ailier castrais Palis. Ce dernier voit une large zone sans défenseur derrière les premiers Montpelliérains et décide de tenter un petit coup de pied par-dessus. Choix discutable et geste technique raté, son coup de pied s'avérant trop court. C'est l'un des sept ballons perdus par Castres dans les 20 premières minutes. À noter qu'après son action défensive, Paillaugue (cercle rouge) est resté au fond du terrain pour couvrir.

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(Canal +)

Montpellier a récupéré le ballon, deux temps de jeu viennent de se dérouler dans la zone. Paillaugue (cercle rouge) a accouru du fond du terrain et, voyant Doumayrou prendre sa place de numéro 9, il se propose ailleurs : en l'occurrence sur le petit côté, où il y a un surnombre. Servi, il réussit une passe volleyée pour éviter la montée en pointe de Nakosi. À la réception, c'est Mercer qui vient de se replacer là après un soutien dans un ruck.

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(Canal +)

Mercer a un 2 contre 2 à jouer, avec Vincent à sa droite et personne en couverture côté CO. Malgré la longueur de l'action, son propre effort pour monter après le dégagement de son équipe, défendre puis se replacer, le numéro 8 garde la lucidité pour taper à suivre vers l'en-but au moment où Palis va pour le plaquer. Essai.

Épisode 2 : debout, c'est fou !

Garder le ballon « vivant », éviter les blocages, jouer là où n'est pas l'adversaire. C'est avec ces idées très « villepreuxiennes » (ou toulousaines) que Montpellier a inscrit son deuxième essai. Un petit chef-d'oeuvre de jeu de mouvement, avec une succession de passes au coeur d'une défense castraise déboussolée, prise de vitesse et ainsi privée de ses pouvoirs habituelles, l'impact au plaquage et le ralentissement des rucks adverses.

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(Canal +)

Après un maul des avants, Serfontein est servi au coeur du terrain. On pense qu'il va, comme souvent, créer un point de fixation. Mais alors qu'il est plaqué par Botitu, l'ancien Springbok parvient à libérer un bras et s'en sert pour adresser une chistéra à Garbisi. Cette passe élimine un défenseur (Botitu) et permet à Montpellier d'avancer de 3 mètres de plus que si Serfontein avait gardé le ballon.

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(Canal +)

Sur le temps de jeu suivant, Mercer est servi à hauteur. Là aussi, on s'attend à un défi frontal. Mais l'Anglais, voyant que deux Castrais sont sur lui, lâche une petite passe à Chalureau juste avant d'être plaqué. Le deuxième ligne s'engouffre dans un intervalle. Bilan : 2 défenseurs éliminés, 6 mètres supplémentaires de gagnés.

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(Canal +)

Plaqué, Chalureau parvient à relever le ballon dans sa chute vers Doumayrou, qui s'est présenté à sa hauteur. Résultat de cette passe qui a flirté avec l'en-avant. Mais le résultat : deux Castrais éliminés, 10 mètres de plus de gagnés.

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(Canal +)

Doumayrou, pris par Arata, cherche lui aussi une solution de passe. Il voit Paillaugue, mais un Castrais veut gêner la transmission. Alors le centre fait une passe de basketteur, juste avant de tomber au sol. Bilan de ce offload-là : 2 défenseurs battus et environ 4 mètres de gagnés.

Comme évoqué plus haut, sur ce début d'action, tous les Castrais ont « plaqué dans le vide » et le ballon a avancé sans temps morts jusqu'aux abords de l'en-but tarnais. Pour un nouvel essai, en force, signé Verhaeghe.

Épisode 3 : quand Chalureau déclenche une farandole

C'est un dur. Un vrai. Agressif et massif. On découvre peu à peu que Bastien Chalureau, remplaçant en deuxième ligne du blessé Paul Willemse, sait aussi faire dans la dentelle. En témoignent son offload sur l'action du deuxième essai, et sa passe en pivot sur celle du troisième.

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(Canal +)

Chalureau (cercle rouge) reçoit le ballon en position de premier attaquant, au milieu de deux autres avants et avec son ouvreur Garbisi dans son dos. En face, les Castrais ne sont pas bien organisés : ils sont quatre dans la zone alors que trois défenseurs suffiraient, et deux d'entre eux sont l'un derrière l'autre. Chalureau, réputé pour ses charges, surprend tout le monde en réalisant une passe en profondeur pour Garbisi. Un geste qui fait basculer l'action, car il « bat » plusieurs Castrais et met tout le reste de la ligne castraise en retard.

Les trois-quarts montpelliérains, qui s'étaient dit moins d'une heure plus tôt, qu'il fallait jouer les coups « à 100 % », sautent sur l'occasion. Vont suivre alors cinq passes successives devant la défense, signées Garbisi, Rattez, Doumayrou, Bouthier et Vincent. À chaque fois, le même schéma se reproduit : la ligne castraise, surprise par la passe de Chalureau, ne sait plus comment monter, les défenseurs sont à contre-temps et pas coordonnées, laissant le temps au porteur de servir l'attaquant suivant.

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(Canal +)

Exemple avec cet enchaînement Rattez - Doumayrou - Bouthier : Combezou est en retard sur Rattez, qui a le temps de servir Doumayrou (image 1). Face à Doumayrou, Nakosi est également en retard dans sa montée. Le ballon va pouvoir continuer son « trajet » vers Bouthier, puis Arthur Vincent qui, en bout de ligne, reviendra vers l'intérieur pour « fixer » les Castrais en train de se replier avant de « lâcher » une passe aveugle pour Bouthier, venu redoubler.

Un essai spectaculaire, qui doit beaucoup à la première passe signée Chalureau. Et à ce qu'elle illustre de plus profond : le plan des Montpelliérains de faire courir les Castrais derrière le ballon.

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 10:24

densnewzealand a écrit:Cette équipe du MHR est rentrée dans le game après des années de financement sans limites, il suffisait de mettre un staff madré de Français… bref , avec les moyens illimités de Altrad, on va se les fader un moment . Heureusement le salary cap est la . En espérant qu’ils Joue le jeu en hcup… quand on pense qu’il ont ce N8 Fidjien énorme sui ne joue quasiment pas…

Ça nous rappelle en creux la période Jake White Rolling Eyes

**densnewzealand** Sam 25 Juin 2022 - 10:46

Scalp a écrit:
densnewzealand a écrit:Cette équipe du MHR est rentrée dans le game après des années de financement sans limites, il suffisait de mettre un staff madré de Français… bref , avec les moyens illimités de Altrad, on va se les fader un moment . Heureusement le salary cap est la . En espérant qu’ils Joue le jeu en hcup… quand on pense qu’il ont ce N8 Fidjien énorme sui ne joue quasiment pas…

Ça nous rappelle en creux la période Jake White

Plus les deux saisons de Vern Cotter. Quel club normalement constitué peux résister à une gabegie pareille… j’en suis d’autant plus heureux et fier de supporter l’UBB . Des clubs comme Toulouse , LR ont de vraies bases . Les autres ne sont qu’un tas de sable qui peut s’envoler au moindre départ de leur mécène. Et dire qu’on s’est fait casser du sucre sur le dos pendant 15 jours, on en oublie vite l’épisode du rachat du contrat du sudaf du Racing , l’épisode du BBQ …

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:08

densnewzealand a écrit:
Scalp a écrit:
densnewzealand a écrit:Cette équipe du MHR est rentrée dans le game après des années de financement sans limites, il suffisait de mettre un staff madré de Français… bref , avec les moyens illimités de Altrad, on va se les fader un moment . Heureusement le salary cap est la . En espérant qu’ils Joue le jeu en hcup… quand on pense qu’il ont ce N8 Fidjien énorme sui ne joue quasiment pas…

Ça nous rappelle en creux la période Jake White

Plus les deux saisons de Vern Cotter. Quel club normalement constitué peux résister à une gabegie pareille… j’en suis d’autant plus heureux et fier de supporter l’UBB . Des clubs comme Toulouse , LR ont de vraies bases . Les autres ne sont qu’un tas de sable qui peut s’envoler au moindre départ de leur mécène. Et dire qu’on s’est fait casser du sucre sur le dos pendant 15 jours, on en oublie vite l’épisode du rachat du contrat du sudaf du Racing , l’épisode du BBQ …

Complètement, sans oublier les magouilles financières et autres tricheries d'Altrad, son profond mépris pour le monde de l'ovalie et ses valeurs, comme de tout ce qui peut se mettre entre lui et ses ambitions...

Mais pour autant en 2018 j'étais à fond pour Castres, ou plutôt, à fond contre Montpellier, autant cette fois-ci, je n'en avais rien à battre...

Le storytelling des Castrais, la fable du petit poucet, ça me gonfle profondément, le Rugby soi-disant de clocher, authentique, mais adossé à une multinationale..., la façon de se la raconter qui fini par ressembler à de la fausse modestie au vu de l'armoire à trophée bien remplie. Le public Castrais qui se vit en défenseur des valeurs de l'Ovalie, mais qui laisse de plus en plus ses éléments radicaux s'exprimer, comme les insultes envers Jalibert lors du dernier match à Castres, j'espère ne jamais voir ce genre de comportement à Chaban...

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:16

https://www.midi-olympique.fr/2022/06/24/vincent-et-mercer-en-patrons-staniforth-seul-au-niveau-les-notes-de-castres-montpellier-10394761.php

Staniforth seul au niveau... Vincent et Mercer en patrons : les notes de Castres-Montpellier

Les joueurs de Montpellier ont réalisé un match très solide dans l'engagement. On ne les a jamais senti en danger avec en fer de lance Chalureau et Mercer. Derrière, Vincent a été réalisé un match taille patron tout comme sa ligne de trois quarts. Côté CO, dans un naufrage collectif, seul le deuxième ligne australien a semblé pouvoir rivaliser tant dans l'intensité que dans la densité physique. Les autres ? Sans doute ont-ils été submergés par l'émotion à l'image de Palis et Nakosi qui ont provoqué la chute de leur équipe.

Les notes de Castres

1. Quentin Walcker (3/10)

À l’image de sa formation, le jeune gaucher catalan a semblé submergé par l’émotion en début de rencontre, commettant plusieurs grosses erreurs comme ce ballon arraché dans ses mains par Chalureau qui aboutit à l’essai de Bouthier (13e), ou ce mauvais positionnement au point de recevoir une chandelle sur le dos (29e). Un bon contest à la 42e, petit crédit en regard d’une prestation souffreteuse en mêlée. Remplacé dès la 47e par un Wayan De Benedittis qui crut débloquer la situation après une belle charge, mais ne parvint pas à aplatir (56e).

2. Gaëtan Barlot (3,5/10)

Contré dès son premier lancer, le talonneur tarnais a eu du mal à régler la mire, à l’image d’un autre ballon égaré à la 32e. Peu en vue ballon en main (3 petits mètres gagnés), il a lui aussi donné l’impression de subir l’événement. Remplacé à l’heure de jeu par Paula Ngauamo, qui a apporté son engagement mais aussi un certain déchet (2 plaquages manqués).

3. Wilfrid Hounkpatin (3,5/10)

Il a démarré le match dans la difficulté, gêné par les poussées diagonales de Lamositele. A cherché de l’activité, mais s’est montré toutefois naÎf en défense en oubliant de garder l’axe du ruck sur l’essai de Verhaeghe (9e). Remplacé à la 52e par Levan Chilachava qui a eu le mérite d’apporter sa puissance en mêlée, avec 2 pénalités récoltées (54e, 61e), mais a également été pénalisé au sol (67e) et ressortit sur blessure de la pelouse à la 71e.

4. Florent Vanverberghe (3/10)

Il fut l’un des rares castrais à proposer des relais saignants en début de match, avant de voir sa dynamique gâchée par un ballon échappé au contact (17e). Peu en vue par la suite, au point d’être remplacé dès la 43e par Loïc Jacquet, qui sut rectifier le tir au niveau des annonces en touche, sans grand impact toutefois sur la suite des événements.

5. Tom Staniforth (5/10)

Comme à son habitude, il fut l’un des Tarnais les plus actifs en défense, avec 10 plaquages au compteur. En revanche, bien ciblé par les défenseurs montpelliérains, il n’a jamais réussi à mettre franchement son équipe dans l’avancée même s’il n’a pas une fois de plus pas ménagé ses efforts. De loin le meilleur joueur de son équipe.

6. Mathieu Babillot (3,5/10)

Intéressant ballon en main lorsque lui échut dans son couloir, le capitaine castrais n’a toutefois pas réussi à inverser le cours des choses lorsque son équipe prenait l’eau, passant tout près de la correctionnelle pour un plaquage sur Guirado qui obligea le talonneur du MHR à quitter la pelouse. Bien ciblé par les soutiens montpelliérains, il n’a jamais réussi non plus à exister sur son point fort des contests au sol.

7. Nick Champion de Crespigny (4/10)

Auteur d’une saison régulière impressionnante, l’Australien a réalisé une performance dans le sillage de sa demi-finale, plutôt décevante. Pénalisé pour un plongeon à la 18e puis pour un talonnage à la main à la 39e, il n’a jamais réussi à rattraper totalement ses erreurs, malgré une bonne activité défensive et des déblayages musclés. Remplacé à la 63e par Ben-Nicholas.

8. Teariki Ben-Nicholas (3/10)

Solution privilégiée en touche par les Castrais en début d’alignement, il a encore eu beaucoup de déchet. Pénalisé en touche (26e) puis au sol (34e), il est également auteur d’une mauvaise transmission après touche et a globalement manqué d’impact. Remplacé à la 47e par Baptiste Delaporte, qui n’a pas pu faire grand-chose pour redresser la barre.

9. Santiago Arata : 4/10

Contrairement à sa brillante performance en demi-finale face au Stade toulousain, il n’a pas réussi à peser face à Montpellier. Il a même semblé emprunté. Il a été pénalisé pour une faute grossière (19e). Certes, il a réussi à « breaker » une fois mais sans conséquence pour Montpellier. Il a été remplacé par Jérémy Fernandez à la 47e minute qui a semblé bien plus vif dans l’animation. Il aurait pu d’ailleurs être à l’origine du premier essai de son équipe (58e) si l’arbitre de la rencontre Tual Tranini ne l’avait pas justement refusé.

10. Benjamin Urdapilleta : non noté

Blessé à une cheville en début de match, il a cédé sa place à Antoine Zegdar dès la 15e minute de la rencontre. Ce dernier n’a eu quasiment aucun ballon pour se mettre en valeur. A l’exception de cette course le long de la ligne de touche où, voulant jouer après contact, il s’est intercepté par Bouthier qui n’a pas pu profiter d’un rebond capricieux dans sa course vers l’en-but castrais (67e).

11. Filipo Nakosi : 3/10

Lui aussi est passé à côté de sa finale. Un-avant grossier avant de garder le ballon au sol empêchant la libération du ballon (8e), une montée défensive au ralenti sur le troisième essai montpelliérain.

A 20-0, il a tenté de réveiller son équipe avec une charge dont il a le secret, mais a commis un en-avant en tentant de passer les bras (22e). Au total, deux ballons perdus en première période. Et deux défenseurs battus, sans aucune conséquence positive. Blessé, il a été remplacé par Arata à la 71e minute.

12. Vilimoni Botitu : 3/10

Habituellement si tranchant, il s’est révélé quasiment transparent durant les 20 premières minutes et même souvent en retard dans les montées défensives. Il a aussi commis quelques maladresses. Il ne s’est jamais montré dangereux pour la défense montpelliéraine. Sauf sur cette longue course en fin de rencontre pour récupérer un jeu au pied d’Arata et inscrire le seul essai du CO (75e). Globalement, une vraie déception pour un joueur qui s'était présenté comme l’un des meilleurs centres de la saison régulière.

13. Thomas Combezou : 3,5/10

On ne l’a pas du tout vu en première période. Au total, il n’a touché que trois ballons durant le laps de temps passé sur la pelouse du Stade de France. Seule action positive pour lui durant cette finale, c’est cette percée d’une quarantaine de mètres juste avant sa sortie. Las, elle n’a rien donné en suivant. Il a été remplacé par Andrea Cocagi (47e). Ce dernier a tenté d'apporter sa puissance. En vain. Il a notamment voulu faire ce petit mètre supplémentaire au sol qui lui a coûté une pénalité à quelques centimètres de la ligne. Il est revenu en jeu en remplacement de Geoffrey Palis (58e).

14. Geoffrey Palis : 3/10

Un geste résume assez bien la pauvreté de sa performance dans cette finale. En effet, il a été coupable d’un geste étrange sur le premier essai montpelliérain. En couverture dans le troisième rideau et en position de dernier défenseur, il a voulu tenter le coup du sombrero par dessus deux joueurs du MHR. Las, il a totalement raté son coup pied, ce dernier tombant dans les bras d’Arthur Vincent. Deux temps de jeu plus tard, le MHR marquait son premier essai (7e). En suivant, il a été très discret, même s’il compte à son actif deux défenseurs battus. Il a été remplacé par Thomas Combezou à la 58e minute de la rencontre.

15. Julien Dumora 4,5/10

Replacé à l’ouverture dès la sortie d’Urdapilleta (15e), il a commencé par rater un coupé de pied important à l’instant trouver une touche sur pénalité (16e). Ensuite, il a eu des difficultés à trouver ses marques, ses passes ont parfois semblé flotter en raison de ses hésitations, laissant la défense montpelliéraine gagner la ligne d’avantage. Il a inscrit une pénalité (35e), mais son jeu au pied a continué de manquer de précision et de pertinence.

Les notes de Montpellier

1.Titi Lamositele 7/10

L’Américain a apporté sa pierre à la domination des Cistes en mêlée fermée, qui a été éloquente en première mi-temps. On l’a moins vu dans le jeu courant, tant en attaque qu’en défense mais sa prestation en mêlée fermée se suffit à elle-même. Remplacé peu après l’heure de jeu par le jeune Robert Rodgers.

2. Guilhem Guirado 7/10

Très actif ballon en main et percutant en défense, l’ancien capitaine du XV de France a dû quitter ses partenaires à la 25ème pour passer un protocole commotion qu’il n’a de toute évidence pas réussi. Son remplaçant, Brandon Paenga-Amosa, a encore assis la domination de son équipe en mêlée fermée, à l’image de cette pénalité gagnée sous les perches juste avant la mi-temps.

3. Mohamed Haouas 7,5/10

Comme Lamositele, « Momo » a dominé son vis-à-vis en mêlée fermée, le Castrais Quentin Walcker qui est sorti peu après le retour des vestiaires. Il s’est montré très actif en défense, même s’il a connu un peu de déchet (deux plaquages manqués) mais a compensé en remettant souvent son équipe dans l’avancée. Remplacé par Henry Thomas à la 57ème, qui a fait une belle charge à la 75ème minute.

4. Florian Verhaeghe 8/10

Le deuxième ligne s’est rapidement illustré en volant la première touche du match, lancée par les Castrais, et en a remis une couche quelques minutes plus tard en inscrivant le deuxième essai des siens, après une belle séquence dans laquelle on l’a vu passeur et percuteur. Remplacé par Nicolas Janse Van Rensburg à la 48e, qui a pris le relais en touche mais a écopé d’un carton jaune à la 62ème minute.

5. Bastien Chalureau 8,5/10

Comme à son habitude, il a apporté toute sa rage et sa puissance dès l’entame de match. On l’a aussi vu au relais dans le jeu dans le petit périmètre, et même signer une belle chistera qui amena l’essai de Verhaeghe ou encore une passe en pivot dans le mouvement qui mena l’essai de Bouthier. On l’a aussi vu stopper net son vis à vis Vanverberghe alors que ce dernier arrivait plein fer. Il a signé un sans-faute au plaquage, tout en étant l’un des Montpelliérains les plus actifs dans ce registre. Remplacé par Mickael Capelli à la 57eme, qui a apporté sa férocité sur les plaquages.

6. Alexandre Bécognée 8/10

L’ex-Montois s’est montré actif ballon en main, à l’image de ce ballon remonté dans son camp vers la 32ème. Il s’est montré aussi très appliqué en défense, à l’image de son 100 % de plaquages réussis à l’heure de jeu. Un match plein pour l’international français, qui montre encore qu'il possède un potentiel énorme.

7. Yacouba Camara 7,5/10

Le capitaine des Cistes a d’emblée plaqué en avançant, lors de la première incursion des Castrais dans ses 22 mètres. Comme à son habitude, il a brillé par son impressionnante activité défensive, et son assurance en touche. Il a aussi signé un contest précieux à la 54ème minute qui permit à son équipe de mettre fin à un long siège des Castrais dans les 22 mètres héraultais. Remplacé par Florian Verhaeghe à la 63ème minute, après avoir signé 15 plaquages, plus haut score côté MHR.

8. Zach Mercer 8/10

Une fois n’est pas coutume, l’Anglais s’est illustré par… un coup de pied rasant, qui s’est avéré décisif, puisqu’il offrit le premier essai de la partie à son ailier Arthur Vincent. A commis un en-avant vers la 27ème qui gâcha un bon départ derrière sa mêlée. Mais globalement, l’ex-joueur de Bath a signé une finale à l’image de sa saison : excellente en tous points. Il a encore avancé, encore plaqué à tour de bras… bref, il est définitivement la bonne pioche du recrutement héraultais.

9. Benoît Paillaugue 7/10

Le demi de mêlée a livré une prestation de patron : sa passe sur le pas, à l’origine du premier essai, et son relais à l’origine du deuxième ont été déterminants dans l’entame de feu des Héraultais. Ses jeux au pied ont été d’une précision diabolique. Les supporters lui pardonneront ses deux manqués face aux poteaux (3/5). Remplacé par Gela Aprasidze (57e) qui a apporté toute son énergie.

10. Paolo Garbisi 7/10

A 22 ans, l’ouvreur italien a pleinement assumé son rôle de chef d’orchestre. Sur les premiers mouvements héraultais, il a été d’une vivacité et d’une justesse remarquables. Il a été irréprochable sur ses sorties de camp et ses pénaltouches. Un vrai match de leader même si son influence a décliné au fil de la partie, en raison de la physionomie de la partie notamment. Il est sorti sur une pénalité réussie à plus de 40 mètres. Son 9/10 en défense est à souligner. Remplacé par Handre Pollard (69e), quelque peu dépassé en défense et auteur du dernier coup de pied de la rencontre.

11. Vincent Rattez 5,5/10

L’ailier aura été le trois-quarts le moins en vue offensivement. Il avait pourtant de bonnes jambes comme l’a prouvé sa course en bout de ligne après un en-avant de Bouthier en première période. Il a mis cette énergie au service d’une défense acharnée et efficace.

12. Jan Serfontein 6,5/10

Sanctionné pour un plaquage haut sur Arata (2e), il a ensuite été un fer de lance tonitruant pour l’attaque montpelliéraine. Sa chistera après contact sur l’essai de Florian Verhaeghe est à montrer dans toutes les écoles de rugby. Il a été percutant sur chacune de ses interventions malgré quelques fautes de mains. A plaqué à tour de bras (13/16), comme à son habitude. Le Bok a été à la hauteur de son statut. Remplacé par Gabriel Ngandebe (60e).

13. Geoffrey Doumayrou 7,5/10

Le centre a fait parler son expérience et sa maîtrise technique. Sa décision de revenir petit côté sur le premier essai et son relais sur le deuxième ont rappelé qu’il était un attaquant de qualité. En défense, il a été impeccable avec une belle lecture et des interventions pleines de conviction ( 8/8 ). Un vrai régulateur de ligne, indispensable et ô combien précieux.

14. Arthur Vincent 8/10

L’international a vécu une soirée de rêve où tout lui a réussi : opportuniste sur le coup de pied à suivre de Zack Mercer (7e), il a régalé avec sa redoublée passe aveugle pour envoyer Anthony Bouthier dans l’en-but (12e). En défense, il a été valeureux pour repousser Filipo Nakosi. Il est aussi à créditer d’un grattage précieux sur Thomas Combezou dans ses 22 mètres (47e).

15. Anthony Bouthier 7,5/10

D’entrée, ses coups de pied ont soulagé les siens. L’arrière s’est aussi illustré par ses courses : sa lecture de jeu, sur la passe aveugle d’Arthur Vincent (12e), lui a permis de marquer le troisième essai des siens. Une maladresse sous une chandelle (30e) qui a mis son équipe sans pression sans que cela n’ait de conséquences. Sa couverture de terrain a été globalement bonne. Son retour défensif sur Thomas Combezou (47e) et son interception en bout de ligne (64e) ont annihilé les derniers espoirs castrais. Il était même proche d’un doublé après un énième ballon intercepté (66e).
Arnaud Beurdeley, Simon Valzer, Nicolas Zanardi

**sudiste** Sam 25 Juin 2022 - 11:35

Avec la victoire du MHR nous serons donc le seul club de Top 14 vierge de tout titre majeur (et même mineur style challenge nous concernant) sur la scène nationale ou européenne... Rolling Eyes

Roberto Miopalmo Sam 25 Juin 2022 - 11:38

Ben oui, mais ils sont champions et pas nous. Seule l’an verite du terrain compte. J’avais oublié qu’ils avaient gagné la petite coupe d’Europe l’année dernière. C’est un club qui progresse. Altrad amène la thune mais a semblé t’il laissé une grande marge de manœuvre à St André sur la gestion sportive, qui lui même, un peu comme Urios, gère surtout les hommes, laissant ses adjoints conduire les entraînements. Peu importe d’où vient le pognon, l’histoire du sport montre que ça n’en fait pas tout. Le MHR a compris ce que le stade français n’a pas encore pigé, il faut faire un groupe, un état d’esprit. Ils nous montrent la voie à suivre.

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:39

sudiste a écrit:Avec la victoire du MHR nous serons donc le seul club de Top 14 vierge de tout titre majeur (et même mineur style challenge nous concernant) sur la scène nationale ou européenne...

Garder sa virginité plus longtemps que les autres n'est pas forcément une tare pour écrire sa future histoire :chambreur:

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:45

Top 14 : Montpellier, un rouleau compresseur qui a écrasé les phases finales

https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/top-14/top-14-montpellier-un-rouleau-compresseur-qui-a-ecrase-les-phases-finales-20220625

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:46

Finale Top 14 saison 2021/2022 - Castres / MHR - Page 2 Capt4624

https://twitter.com/Moscato_Show/status/1540619745606733826

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:48

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 11:52

**Scalp** Sam 25 Juin 2022 - 12:46

**sudiste** Sam 25 Juin 2022 - 15:20

Scalp a écrit:
sudiste a écrit:Avec la victoire du MHR nous serons donc le seul club de Top 14 vierge de tout titre majeur (et même mineur style challenge nous concernant) sur la scène nationale ou européenne...

Garder sa virginité plus longtemps que les autres n'est pas forcément une tare pour écrire sa future histoire

T'as raison finalement l'UBB n'a que 16 ans :chambreur:

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